Black Immigrant Daily News
Wendy Noel (w.****@ag******.fr)
Aujourd’hui âgé de 34 ans, Menji Marous a repris l’entreprise schœlchéroise en 2018, après le décès de son père. • PHOTO WENDY NOEL
Saga familiale. Depuis 2018, Menji Marous est à la tête de l’école de conduite de Petit-Paradis, à Schœlcher. Une entreprise « familiale et de proximité » qu’il a reprise à la mort de son père Patrick Mongis.
Enfant, Menji Marous confie avoir eu assez peu
d’interactions avec le métier de son père, Patrick Mongis.
« J’étais un grand timide, donc je restais en haut, à regarder
la télévision. Je voyais seulement les élèves lorsqu’il me déposait
ou me récupérait en voiture à l’école », indique l’homme de 34
ans.
Ce dernier nous reçoit au rez-de-chaussée de la
maison familiale, à l’étage de laquelle il a grandi et vit
aujourd’hui avec sa famille, dans le petit bureau de l’auto-école
qu’il a reprise au décès de son père en 2018. Située quartier
Petit-Paradis à Schœlcher, l’entreprise se veut de proximité, à
taille humaine, avec une seule voiture partagée entre les
différents moniteurs. « J’ai trois travailleurs indépendants
qui tournent en plus de moi », lance le formateur qui prépare
également au permis moto. Un développement qui lui fait dire
aujourd’hui que « [son] père serait fier » du chemin
parcouru.
Dessinateur,…
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